Organisée chaque année à l’initiative de l’ONU, elle a eu lieu à GAP le 20 juin dernier.
La Journée mondiale des réfugiés est une journée internationale pour rendre hommage aux réfugiés du monde entier.
Extrait de l’article de France Info :
Coumba, originaire du Mali, est demandeuse d’asile : “Nos assistantes nous aident pour tout, explique-t-elle. On s’est intégré. L’accueil est bien ici. Les gens sont gentils.”
En moyenne à Gap, les trois quarts des demandeurs d’asile obtiennent une régularisation de leur situation, contre 1% au niveau national.
Artur, arménien, a été débouté : « Pour l’instant, je reste avec ma famille, mes enfants, je ne veux pas changer de ville. C’est un endroit où je me sens bien. J’ai créé beaucoup de choses. Je ne veux pas perdre tout ce que j’ai créé pendant deux ans. »
Mahoua,ivoirienne,a pu bénéficier de la protection, en étant formée comme auxiliaire de vie, un métier en forte tension en France “Je suis bien intégrée”, se réjouit-elle.
Baisse du nombre de lits
Mais en France, le nombre de places pour accueillir les réfugiés en attente de statut est en baisse. “On avait 170 places d’accueil pour cette fin du mois de juin, on a perdu 40 place. On voit bien que ça se tend parce que d’habitude, on a plutôt tendance à avoir des extensions”, déplore Doriane Simko, intervenante sociale au Cada, centre d’accueil de demandeurs d’asile de Gap.
Valérie Rosier – Coordination
Tél. 06 12 33 10 71 valouchka26@gmail.com
Mira Pons et Michel Léonard – Rédaction
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